Devant le Palais fédéral, 14h30. C'est l'ouverture de la session d'hiver des Chambres fédérales. Les parlementaires arrivent, reconnaissables à leurs complets sombres, leur démarche helvétique (une, deux, une, deux).
Sur la place, 3 messieurs discutent, puis se séparent. L'un d'eux est tout bêtement le Conseiller fédéral Samuel Schmid. Je l'aborde, il me tend la main, comme si j'étais un membre de son jass-club de Büren a/Aare.
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